Le retour au chauffage au bois est à la mode mais quand on trouve du bois.
Le système mis en place par la CIDERAL devait s'appuyer sur la mixité bois - gaz.
Il se dit, mais ce sont certainement de très mauvaises langues qui colportent cela, que les chaudières n'ont que très peu connu l'alimentation des fours avec du bois.
La prévision de 85% des besoins assurée par le bois serait très loin de la réalité.
Le bois récolté ne serait pas adapté aux chaudières actuelles. Beaucoup trop de poussières pour ne pas dire de terre.
RépondreSupprimerCe qui est vrai pour Loudeac l'est aussi sur notre Mené, mais nous n'entendons pas nos élus.
Trop heureux à vouloir être les meilleurs.
Simple bêtise humaine.
Il aurait été bien de laisser une place à l'expérimentation sans développer outre mesure le système.
Une innovation chez nous , une chaudière à l'huile de colza ?
Pourquoi pas.
À moins que ce soit le bon moyen de rendre rentable une certaine huilerie ?
Sur le compte du contribuable, mais avec un label environnementale.
C'est normal qu'on n'ait pas du bois sur Loudéac, ils ne laissent pas les arbres croître et mûrir, car la simple préoccupation des élus locaux est d'envoyer des volées de bois vert, quand on leur apporte la contradiction !
RépondreSupprimerTrêve de plaisanterie. Si ton information se confirme, j'espère que la presse va s'en emparer pour mettre sous les projecteurs encore une fois, une dépense publique infondée et inconsidérée. Ton blog est très lu par cette dernière, à l'instar du mien. J'invite donc les "canards locaux" à mener une enquête sur la nature de l'approvisionnement en bois de la chaudière de Loudéac. Bien cordialement. Thierry RONCIN.
Alors la ne rêvez pas le sujet est parfaitement muselé ! le personnel à interdiction d'en parler surtout pas à la presse
RépondreSupprimerMais comme tu dit Thierry que fait la presse ?
Un lecteur qui semble bien connaître le sujet m'a fait part de ces informations alarmantes :
RépondreSupprimer" Le bois récolté sur le territoire n' est pas de bonne qualité, bien souvent du taillis, stocké en masse dans les hangars loués.
Dans les silos des chaudières, les copeaux se colmatent.
Les poussières produisent du mâchefer en masse.
L'usage de la barre à mine est monnaie courante.
Certaines collectivités sont allées sur le marché pour se réapprovisionner, d'autres ont destocké pour le passer au crible et éventuellement rebroder !
Quel est le coût en pétrole ?
Les machines à broyer sont très gourmandes en pétrole, les semi -remorques également."
La question que je me pose : est-ce le cas à Loudéac ?
Bien cordialement. Thierry RONCIN.
Que de souvenir durant notre combat contre l implantation de cette chaufferie en centre ville et evidement nous avions raison malgre les menaces de nos Elus divers !
RépondreSupprimerQue d irresponsabilite , d amateurisme , nous avons fait face de la part de ces elus ???
J aimerais qu ils s expliquent sur ce sujet alors mrs les medias a vos intdrviews
Apres 6 annees d etudes ,de tergiversation , de changement de sites , d etudes complementaires , etc... combien a finalement coute ce projet a la collectivite ??? Mrs les elus pouvez vous repondre ?
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