Il y a des instances qui ne regardent pas à la dépense et qui rémunèrent grassement leur personnel bien au dessus de la grille de la convention collective, je ne peux que saluer une telle initiative qui vise à éliminer les trop grandes disparités entre les mieux et moins bien payé.
Cet élan du cœur vient d'un super édile du Centre Bretagne, il a raconté que pour faire des économies (de bout de chandelle) il faisait lui même le ménage dans son bureau. Cela a pour conséquence, un moins à payer pour la petite entreprise qu'il dirige mais cela fait aussi moins de travail pour le personnel (certainement extérieur) qui pourrait effectuer ces tâches, c'est sa façon de garantir du travail à Pôle Emploi et à SA Mission Locale.
Une idée me trotte dans la tête, et si ce gout pour le ménage venait de ce qu'il ne fait pas confiance aux techniciens de surface qui, par inadvertance, verraient des dossiers, comment dire, qui ne doivent pas tomber entre n'importe quelles mains, frais de déplacement, frais de bouche, sauterie de début d'année, etc ...
Un jour, un PDG d'une société de 300 personnes avait dit à un directeur de site qu'il avait trouvé à ranger des palettes "Vous croyez que je vous rémunère pour faire un travail que vous pourriez et devriez déléguer à des personnes beaucoup plus compétentes que vous ?".
N'y voyez pas de sous entendu mais cette illustration vient du site Hellocoton
L'affaire Dreyfus a démarré avec une poubelle !
RépondreSupprimerMais, il a une différence : Dreyfus, défendu de surcroît par Emile Zola a été gracié en 1899 par Emile Loubet ! C'était un honnête gars !
Celui dont on parle (celui de Britavi), ne le sera jamais, car la dinde ne s'en est jamais remise, ni les Plémétais !
Cordialement.
Thierry RONCIN.