Après un "acta non verba", voici un "mea culpa" , vous les mettez bout à bout et vous avez le raisonnement d'un président de communauté de commune du Centre Bretagne, s'il pouvait enfin nous gratifier d'un "Vale Aeternum".
On agit sans réfléchir et ensuite on demande pardon pour les conneries sachant cette demande n'est qu'un effet d'annonce et de façade et espérant que, comme dit l'adage, "faute avouée est à moitié pardonnée". J'espère que les gens sensés se souviendront de l'autre moitié.
Il rejoint dans cette démarche son mentor un certain Paul Bismuth alias Nicolas Sarkozy de Nagy Bocsa.
Et mon arrière train, c'est de la volaille saumurée ?
C'est à lire dans l'édition du Télégramme d'aujourd'hui.
Bien vu !
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