Il était une fois dans un pays pas si imaginaire que ça, un Suzerain qui était épaulé par une gente dame qui avait pour avantage d'être recommandée par un seigneur d'un royaume beaucoup plus important.
Tout allait bien, la gente dame pardonnait au Suzerain ses écarts de langage et de ............ lever de coude aussi fréquents l'un que l'autre jusqu'au jour où, en ayant plein la quenouille, ah oui je ne vous ai pas dit mais la gente dame filait la laine, elle décida de filer (à l'anglaise).
Afin de ne pas faire de chagrin à son ancien Suzerain, la gente dame se fendit d'un parchemin pour expliquer son désamour aussi soudain qu'inattendu, il fut revu et corrigé par le seigneur du royaume beaucoup plus important qui lui avait trouvé cette place avant de le donner à lire aux gueux et serfs.
Le Suzerain ayant lu la mouture revue et corrigée se fendit à son tour d'une réponse pour faire savoir que si elle était partie, c'est parce qu'ils s'aimaient beaucoup, beaucoup trop, et que cela commençait à en devenir gênant pour les autres dames.
A la lecture de cette réponse, les serfs et gueux du royaume s’esclaffèrent comme des dératés, même les veaux, vaches, cochons couvées s'y mirent, on n'avait jamais entendu autant de rires, un ancien a l'âge assez avancé faillit y laisser la vie, il n'arrivait plus à reprendre sa respiration.
Toute ressemblance avec des faits anciens ou récents est tout à fait impossible et ne traduirait que de la mauvaise foi de la part de son auteur.
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RépondreSupprimerC'est trop bon pour qui ? vous ? bref...
SupprimerC'est excellent (en français) vous devriez publier Monsieur Ambroise.
je l'envisage
SupprimerExcellent ! Mais qui pourrait ressembler à ce cenario ?
RépondreSupprimerUn roman est souvent voire toujours basé sur des personnages fictifs ...... ou pas
SupprimerCe n'était donc qu'un mauvais rêve ? Les Loudéaciens et ciennes vont donc se réveiller ?
SupprimerFini la narcolepsie locale
SupprimerEt pourtant il a une gente dame qui le soutiendra jusqu'au bout de façon désintéressée qu'il rote , pète , ou pire son soutien sera indéfectible ; quel dur métier que de devoir supporter ces odeurs pour un maigre salaire
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