samedi 14 mai 2016

Allez donc rollerer et skaterer ailleurs

L'arrivée de ce panneau sur la place de l'Eglise à Loudéac suscite quelques réactions de la part des jeunes, c'est la population visée par l'arrête municipal d'interdiction de la pratique du roller ou du skate.

L'explication donnée par un 15/18 ans était d'une logique imparable. "Faut savoir que si ce panneau a été mis, c'est parce que ceux qui en sont à l'initiative ne pratiquent pas ce sport, certains seraient bien incapable de rester debout sur une planche à partir d'une certaine heure et même avant".

Mais qui donc est visé par cette remarque pleine de bon sens ?

4 commentaires:

  1. vous ne vous souvenez pas du jeune Nicolas Huet qui dévalait les trottors de Loudéac avec ses rollers.Ce nicolas huet là est bien le fils de gérard Huet encore maire pour quelques jours à Loudéac

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  2. ne serait ce pas plutôt pour protéger le mobilier urbain ??? regardez l’état des bancs (qui ont été rénovés il y a moins d'un an !) l'arrêté municipale ( qu'il suffit de lire ) interdit seulement les figures et autres acrobaties sur la commune. le jeune de 15/18 ans ( qui ne sait peut être pas lire) n'est jamais tombé ?? laissant son skate partir vers des passants ou la route ?? serait il né surdoué en skate ?? la vérité n'est pas toujours dans la critique de base mais peut être dans la logique de ceux qui utilisent aussi les trottoirs et autres places de la commune. qui devra payer les dégâts faits aux bancs??? les contribuables ?? et bien oui !! NOUS ! Un peu de compassion envers les vrais victimes : les contribuables et usagers des trottoirs.

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    1. Je me faisais la même remarque avec les poussettes et les fauteuils roulants à Aquarev qui laissent des ornières qu'il faut reboucher après chaque orage et qui c'est qui paye ?

      Trêve de plaisanteries, je suis d'accord avec vous mais ne faudrait il pas faire la même chose avec les chiens qui sont promenés en laisse mais avec 2 à 3 mètres de mou, qui vont à droite et à gauche et qui peuvent tourner au tour des jambes des personnes et là ce n'est pas du matériel qui est abîmé mais l'intégrité physique de la personne.

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    2. On ne peut effectivement pas tout accepter concernant le matériel urbain.
      L'éducation commence par le respect et ce sont les parents des jeunes qui paient ces équipements, ils n'oseraint sans doute pas faire la même chose chez eux.
      Malgré tout ces jeunes ne font pas ça pour casser mais se servent de ces équipements comme supports à leurs acrobaties.
      Difficile de trouver la juste solution.

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