Par 2 fois cette année, la même personne, pourtant en état de sobriété apparente, m'a traité de "connard" et ceci devant des gens qui n'en croyaient pas leurs oreilles.
La première fois, elle s'était même laissée aller jusqu'au "c'est pas parce que t'es handicapé que t'es pas un gros connard", la seconde avait été plus soft mais tout aussi offensante.
Si j'avais réagi comme un député qui s'est fait traiter de "sale arabe" par un autre député, j'aurais du lui foutre un coup de boule dans le pif mais étant non violent de nature, je n'ai pas appliqué la phrase du Lévitique, XXIV,20 et Deutéronome, XIX,21.
Qu elle honte ! Ou va l éducation Française ?
RépondreSupprimerJe viens de lire le "courtier"... et je me revois parmi "ces gens" qui n'en croyaient pas leurs oreilles, et je me revois rester "coite" devant les excès de langage, devant l'envolée des insultes, tellement énormes que si ce n'était pas à pleurer on aurait pu en rire et je me revois rester "conne"
RépondreSupprimerDepuis je m'en veux de ne pas avoir réagi, et pourtant je sais... le pouvait-on : à ce moment là? en ce lieu là?
C'est sûr tu avais raison : Bonjour monsieur, impassibilité, silence, au revoir monsieur, silence...
N'empêche... j'y repense souvent depuis... je n'comprends pas
Alors j'écoute Yves JAMAIT...
" Est-ce qu'on devient salaud par hasard
Est-ce qu'on devient salaud par envie
Peut-on le devenir par désespoir
Ou par ennui"
Hélen
Le silence est d'or. "La bave du crapaud n'atteint pas la blanche colombe". Il ne faut pas répondre aux insultes. Il faut se préserver en restant impassible.
RépondreSupprimerThierry Roncin.