LOUDEAC - AJACCIO - MARSEILLE même combat

La rencontre de pousseux de ballon de Ligue 1 entre Ajaccio et Marseille qui devait avoir lieu hier après midi (28/2) a été reportée en raison des pluies tombées sur l'île et des prévisions de vents violents.

L'élection de Miss France étant passée, on ne peut que croire les officiels qui ont pris cette sage décision afin de ne pas abîmer le terrain.

Ils se plaignaient de n'avoir vu personne

On savait Loudéac et le Centre Bretagne très mal desservit par Internet, un peu de 2G, un peu moins de 3G, presque pas de 4G et absence complète de 5G quant à la GG, on commence à en être saturé.

La confirmation nous vient par Twitter qui a mis presque 4 années à décoincer des tuyaux cette invitation à un bal country le 14 Octobre 2012.

Un fer à repasser dans les voitures jaunes

C'est la nouveauté dans le Centre Bretagne, les facteurs vont être obligés d'avoir un fer à repasser dans leur voiture jaune en plus du courrier et des colis.

Pour cela, une formation intensive va être dispensée afin que les préposés puissent livrer les plis mais aussi les faire disparaître.

Il est également envisagé que votre facteur se spécialise dans la chirurgie esthétique, celle qui fait en sorte que les mauvais plis ne viennent plus enlaidir votre visage.

Voilà les nouvelles boites aux lettres dans lesquelles vous pourrez glissez votre linge sale et votre propre courrier, un autre modèle plus grand est à l'étude afin de pouvoir introduire la tête des personnes qui veulent se faire un ravalement facial. 

"S'endetter a du bon"

"S'endetter à du bon"

C'est le slogan de certains maires pour expliquer le montant de la dette par habitant.

C'est pour cela que la Banque de France a mis en place la procédure de dossier de sur-endettement.

Le verbe du jour

Celui d'aujourd'hui m'a été soufflé par un retraité de l'éducation nationale

Le Helloco, c'est ballot

Dura lex, sed lex

Celui qui est encore président de la communauté de commune de la CIDERAL, maire de Gausson, président du Pays du Centre Bretagne, j'en passe et des moins bonnes, a été déclaré inéligible pour une durée de un an par le tribunal administratif de Rennes suite à un non respect du code électoral.

LOUDEAC : Autocollant très local

Bon, on en pense ce qu'on veut

Post Scriptum : A la demande d'un membre du club local de pétanque, je tiens à préciser que cet autocollant n'est en aucun cas destiné à viser un de ses compétiteurs mais une personne étrangère au club.

Vous avez dit "Loudéac précurseur sur l'accessibilité" hum, hum, faut voir

Le 7 Janvier 2016, Le Télégramme faisait un article sur l"accessibilité à Loudéac pour les personnes à mobilité réduite et un des titres était "Loudéac précurseur sur l'accessibilité".

Dans un billet du 13 janvier, j'avais émis des doutes sur le terme précurseur et j'avais reçu une volée de bois vert allant jusqu'au dépôt d'une main courante à la police municipale.

Il se trouve que dans une des dernières grandes réalisations, la loi est appliquée, juste la loi, pas moins que la loi mais pas plus que la loi.

Le très beau Palais des Sports possède un parking de 120 places environ, 3 sont réservées aux PMR, c'est un arrêté en date du 1er août 2006 qui détermine le nombre.

Mathématiquement pour ce parking le nombre ne pouvait pas être inférieur à 3, 120 x 2% = 2.4 places arrondi au supérieur donc 3, la loi est donc juste respectée.

Le caractère précurseur aurait été de mettre les 2 places qui bordent celles réservées en places pour PMR, sur les 5 fois où je suis allé voir une compétition, les 3 places existantes étaient occupées, vous me direz que j'aurai dû arriver avant les autres et que le problème n'était plus le mien mais le leur.

Ami de la lie

Un mystérieux groupuscule, qui se fait appeler "Ami de la lie", ferait circuler sur Loudéac et sa région l'enregistrement d'un message téléphonique remastérisé (Je n'ai pas eu l'honneur de pouvoir l'écouter.).

Montage ou réalité ?
Il faut se méfiez des contrefaçons dirait Karl Zéro.

Vous avez dit "Numérus clausus" ?

Le député du coin s'étonne dans les colonnes du Courrier Indépendant (le vrai) que le numérus clausus concernant les médecins n'ait pas été augmenté depuis un certain temps.

Faut il rappeler au coquelet qui brasse de l'air au perchoir de l'Assemblée Nationale de temps en temps qu'il faut au moins 7 ans pour former un médecin et que le manque de praticien ne date pas d'hier ou d'avant hier.

Mais que faisait le benêt rouge quand "ses" copains étaient aux commandes et qu'il était au courant qu'un médecin vieillit à la même vitesse qu'un péquin de base.  

LOUDEAC : Les prix des locations flambent

Presque cent millions d'€uro pour la location d'une maison mais pour ce prix vous avez le droit à une cheminée avec insert.

L'annonce ne dit pas s'il faut verser une caution égale à trois fois le loyer avant de pouvoir rentrer dans votre palais des milles et une nuit.

LOUDEAC : Ils étaient jeunes, ils étaient beaux

Léo Ferré avait chanté Pauvre Rutheboeuf :
Que sont mes amis devenus
Que j'avais de si près tenus
Et tant aimés
Ils ont été trop clairsemés
Je crois le vent les a ôtés
L'amour est morte
......

Paroles d'un amoureux à son amoureuse de conseil municipal

Chanson entendue à l'angle des rues Notre Dame et du Général Gautier

Mais qui est donc cette dame qui a quitté son amoureux ?

Loudéaciens et Cidéraliens, de quoi vous plaignez vous ?

Le journal Le Figaro du 13 Février 2016 fait un comparatif entre la dynamique et enviée cité loudéacienne gérée par la droite et la désœuvrée et délaissée cité guingampaise plombée par la gauche.

Je ne sais pas si le gros bourg du Centre Bretagne se reconnait dans ce que les élus de droite donnent comme image idyllique, pourquoi les professionnels médicaux boudent ils Loudéac et sa région, pourquoi les centres de décision ne suivent pas les industries agroalimentaires, pourquoi le taux de maladie professionnelle , tendinite par exemple, est il plus élevé sur le secteur ? Autant de questions qui viennent relativiser l’auto-congratulation du Figaro envers les élus de son parti politique. 

REPORTAGE - De prime abord, la ville de Guingamp paraît plus attractive que la commune ouvrière de Loudéac, mais le dynamisme des élus locaux a inversé la donne.

Envoyée spéciale dans les Côtes-d'Armor

Entre Loudéac et Guingamp, au cœur de la Bretagne intérieure des Côtes-d'Armor, seulement 60 km d'écart. Deux villes en granit d'un peu moins de 10.000 habitants, marquées par l'élevage de cochons et aujourd'hui suspendues à l'évolution de la crise agricole. Sur ce fort terreau commun se sont pourtant développées des réalités économiques très différentes. Avec un taux de chômage de 7,3 %, selon les dernières données de l'Insee, le bassin d'emploi de Loudéac caracole en tête des meilleurs élèves français. À l'opposé, 10,9 % de la population active de la communauté de Guingamp pointe à Pôle emploi, le taux le plus élevé de Bretagne.

De prime abord, la ville de Guingamp, avec son équipe de foot de Ligue 1, son beau centre historique, sa gare desservie par le TGV et la proximité de la mer, paraît plus attractive que la commune ouvrière de Loudéac, perdue au milieu des terres. Mais le dynamisme des élus locaux a inversé la donne. Son succès, Loudéac le doit en premier lieu à Pierre Étienne, chirurgien et premier magistrat de la ville de 1955 à 1979. C'est lui qui, au moment où la Bretagne basculait d'une économie agricole vers l'agroalimentaire, attira sur son territoire le charcutier Olida, dont le site a été racheté depuis par la grande coopérative de production porcine, la Cooperl.

«Notre recette, c'est d'avoir toujours un coup d'avance. Quand une entreprise cherche à s'installer, elle ne peut pas attendre deux ans»

Guy Le Helloco, le président divers droite de la communauté de communes de Loudéac

Ce premier coup ramena près de 400 emplois dans la commune. Il fut suivi par de nombreux autres. «Notre priorité, c'est l'économie, l'économie, l'économie, martèle aujourd'hui son successeur, le président divers droite de la communauté de communes de Loudéac, Guy Le Helloco. Nous faisons tout pour inciter les entreprises à s'installer chez nous: foncier peu cher (7 euros/m2), aides à l'investissement jusqu'à 100.000 euros, logements pour les apprentis, crèche d'entreprise… Tout cela en nous interdisant d'augmenter la fiscalité.»

Une formule qui fonctionne. Loudéac est désormais bordée par une zone industrielle de plus de 400 hectares, bâtie à coups d'échanges de parcelles avec les agriculteurs. Tous les métiers autour de l'agroalimentaire s'y retrouvent: transformation, conservation, transports, construction… Malgré la pression que subit la filière porcine, pour l'instant, aucune casse sociale n'est à déplorer. «Notre recette, c'est d'avoir toujours un coup d'avance. Quand une entreprise cherche à s'installer, elle ne peut pas attendre deux ans. Aujourd'hui, nous pouvons mobiliser rapidement 70  hectares», avance encore Guy Le Helloco.

«il y a une culture locale très exigeante de reconnaissance par le travail»

Marc Le Fur, député LR de la circonscription

«Les économistes disent souvent que la France a fait le choix du chômage. À Loudéac, c'est l'inverse, la population fait le choix du travail, décrypte le député LR de la circonscription,Marc Le Fur. C'est une ville de labeur, avec des emplois peu payés, souvent juste au-dessus du smic. Dans l'agroalimentaire, les gens travaillent très dur dans le froid et l'humidité, mais il y a une culture locale très exigeante de reconnaissance par le travail.» Une culture si forte que l'intégration de familles du Nord qui s'étaient installées dans le coin pour trouver un emploi ne s'est pas toujours bien passée, selon les récits locaux…

«Dans cet environnement très particulier, notre défi numéro un est de trouver les compétences réclamées par les entreprises, abonde François Le Meec, le directeur de Pôle emploi Loudéac. Pour y répondre, nous travaillons sur trois leviers: la formation des demandeurs d'emploi, l'image des métiers, notamment dans l'agroalimentaire, et la mise en valeur des offres des entreprises.»

A Guingamp, CIT-Alcatel a fermé ses sites les uns après les autres

Les priorités de la directrice de l'agence de Guingamp, Bénédicte Augereau, sont différentes. Le fort taux de chômage local s'explique, selon elle, essentiellement par la saisonnalité des emplois.«Notre objectif est alors d'accompagner les entreprises pour qu'elles proposent des contrats plus durables», soutient-elle. Le chômage important que connaît Guingamp s'accompagne inévitablement de difficultés sociales. Selon l'Insee, seulement 46 % de ses ménages sont imposés, contre 61 % à Loudéac. Les deux villes affichent respectivement des taux de pauvreté de 23,2 % et 13,2 %, versus 14,3 % pour la moyenne française. Malgré cet environnement peu porteur, la mobilité est très faible à Guingamp «car les personnes ont appris à gérer leur vie avec les solidarités familiales et locales, et cela fonctionne», analyse Bénédicte Augereau.

Jusqu'aux années 1980, Guingamp faisait pourtant figure de havre de prospérité, avec sa spécialisation de pointe dans les télécoms. Mais l'irruption de nouvelles technologies a poussé l'industriel CIT-Alcatel, qui employait près de 1.400 personnes, à fermer les uns après les autres ses sites, laissant beaucoup de monde sur le carreau. Trente ans plus tard, la plaie n'est toujours pas pansée, malgré l'arrivée régulière de groupes agroalimentaires sur le territoire.

«Pourquoi Guingamp en est là ? Cela ne fera plaisir à personne, mais la réponse est simple : on a eu des élus moins influents qu'ailleurs»

Bernard Hamon, président de la communauté de communes de Guingamp

«Pourquoi Guingamp en est là? Cela ne fera plaisir à personne, mais la réponse est simple: on a eu des élus moins influents qu'ailleurs, assène Bernard Hamon, le président (sans étiquette) de la communauté de communes de Guingamp. Pour faire venir les entreprises, il faut un réseau, se battre au quotidien. On a pris beaucoup de retard. C'est urgent de le rattraper. Guingamp se paupérise à vitesse grand V.»

Pour Philippe Le Goff, maire PS de Guingamp depuis 2014, les leviers pour le redressement de sa ville sont enfin réunis. «Jusqu'il y a quelques années, nous n'avions pas de foncier disponible pour les entreprises. Le sujet est désormais réglé: plus de 40 hectares peuvent être commercialisés, avance-t-il. La réforme territoriale qui entrera en vigueur en 2017 va aussi donner à la communauté de communes les moyens d'avoir une vraie politique d'animation économique. Nous souffrions d'un problème de taille.» Des aides à la création d'emploi, plafonnées à 60.000 euros, ont encore été instaurées. Afin d'accélérer, l'édile espère que la région mettra en place une aide vers les territoires en difficulté…

Le racisme breton envers nos voisins de Pontivy

Le torchon Breiz Atao, même pas bon pour se retirer la merde du cul, fait une diatribe au vitriol sur la cérémonie qui a eu lieu à Pontivy avec la présence du sous préfet. 

Les termes utilisés tombent peut être sous le coup de la loi sur l'incitation à la haire raciale, c'est déjà ce groupuscule qui avait sévit dans les rues pontiviennes il n'y a pas si longtemps. 

Portrait du rédacteur en chef de Breiz Atao

Centre Bretagne : Pénurie de médecins

Les professionnels de la santé du Centre Bretagne tirent la sonnette d'alarme, il va y avoir une pénurie de praticiens, beaucoup partent en retraite.

Mais que faut il faire pour attirer des jeunes qui sont en fin d'études pour venir dans notre région ?

Volontariat ou obligation ?

Saint Barnabé, son maire et la crise agricole

Le maire de Saint Barnabé relaye sur son compte Twitter un article du Télégramme sur le "blocage" du Centre Leclerc de Loudéac et se garde bien de donner sa position qui serait très intéressante à connaitre. N'est il pas issu du monde agricole ?

Conjoncturelle ou structurelle ?
Casse ou rassemblement ?
Pouvoir d'achat du producteur ou du consommateur ?
Préférence nationale ou non ?

Le Suzerain se sent seul ce soir

Il était une fois dans un pays pas si imaginaire que ça, un Suzerain qui était épaulé par une gente dame qui avait pour avantage d'être recommandée par un seigneur d'un royaume beaucoup plus important.

Tout allait bien, la gente dame pardonnait au Suzerain ses écarts de langage et de ............ lever de coude aussi fréquents l'un que l'autre jusqu'au jour où, en ayant plein la quenouille, ah oui je ne vous ai pas dit mais la gente dame filait la laine, elle décida de filer (à l'anglaise).

Afin de ne pas faire de chagrin à son ancien Suzerain, la gente dame se fendit d'un parchemin pour expliquer son désamour aussi soudain qu'inattendu, il fut revu et corrigé par le seigneur du royaume beaucoup plus important qui lui avait trouvé cette place avant de le donner à lire aux gueux et serfs.

Le Suzerain ayant lu la mouture revue et corrigée se fendit à son tour d'une réponse pour faire savoir que si elle était partie, c'est parce qu'ils s'aimaient beaucoup, beaucoup trop, et que cela commençait  à en devenir gênant pour les autres dames.

A la lecture de cette réponse, les serfs et gueux du royaume s’esclaffèrent comme des dératés, même les veaux, vaches, cochons couvées s'y mirent, on n'avait jamais entendu autant de rires, un ancien a l'âge assez avancé faillit y laisser la vie, il n'arrivait plus à reprendre sa respiration.

 Toute ressemblance avec des faits anciens ou récents est tout à fait impossible et ne traduirait que de la mauvaise foi de la part de son auteur. 

Huis clos pour la presse à Boutronville - Les Moulins

Quand la charrue est mise avant les bœufs, voilà ce qui arrive.

La non implication, qui s'assimile à un diktat, des habitants de la nouvelle commune regroupant La Ferrière et Plémet fait des vagues presque aussi hautes que celles dues à la tempête qui souffle actuellement sur la région.

Y aurait il des choses à cacher ? Je ne le pense pas, peut être que les explications à donner sont gênantes pour ceux qui ont pris la décision de ce nom.

Ça me rappelle le "Acta, non verba" d'un autre qui fait d'abord et qui réfléchit après.

CIDERAL : Machiste ou pas ?

J'ai reçu un mail de Sophie I. qui donne son point de vue sur certaines paroles attribuées au président de la communauté de commune :

"Une petite réflexion ou réaction (d'urticaire ?) syndicale et/ou féministe.

Le Président de la CIDERAL a décidé de faire des économies de fonctionnement en ne remplaçant plus les petits arrêts maladie et maternité du personnel de la collectivité.

Les collègues assureront le surplus de travail, un procédé connu pour opposer les personnels, bien portants et souffrants, hommes et femmes, procréatrices et ménopausées ...

En effet Monsieur le Président n'ayant pas mentionné le congé parental, les procréateurs ne semblent pas concernés par cette mesure d'économie cidéralienne.

Ainsi, un heureux événement parmi le personnel intercommunal vaudra des félicitations à l'heureux Papa et des rancœurs à la mère qui égoïstement s'octroiera quelques semaines de congés au détriment de ses collègues."

Je reprend la main

Qu'arriverait il en cas d'un improbable baby boom ? Rien puisque le service du personnel fera signer à toutes les personnes de sexe féminin qui postulent à un emploi, une attestation sur l'honneur qui stipule qu'elles n'auront pas d'enfants pour les plus jeunes ou qu'elles ne peuvent plus en avoir pour celles qui paraissent plus âgées. 

Des nouvelles du Bingo local

Il reste les numéros

1 - 2 - 3 - 4 - 11 - 13 - 14 - 15 - 16 - 19 - 20 - 22 - 23 - 26 - 28 et 29

Commune nouvelle : comment l'appeler

Une fois que la nouvelle commune a donné son premier cri, il faut comme pour les nouveaux nés lui donner un nom.

En ce qui concerne celle autour du gros bourg du centre Bretagne je verrais bien quelque chose comme Gaussonla(cheze,motte)loudeacsaint(barnabé,caradec,maudan), avec un tel nom la nouvelle entité figurerait dans le Guinness des records à égalité avec Llanfairpwllgwyngyllgogerychwyrndrobwllllantysiliogogogoch gentille petite localité galloise les deux communes auraient 58 caractères dans leurs noms.

Objectivité ?

Vous devez demander l'avis de 3 personnes ou groupes d'individus sur le même sujet qui les concernent.

Vous recevez les remarques des deux premiers puis vous appelez le troisième en lui faisant part des écrits des deux premiers afin que celui ci ait une réponse appropriée et non spontanée. 

En justice, on appelle cela un délit d'initié, en ce qui concerne le sujet présent, on n'en est pas encore là. Cela n'existe pas dans la presse et c'est un peu normal, le vent tournant parfois.

Je n'ai rien entendu, je n'ai rien vu et je n'ai rien dit

LOUDEAC : La campagne des municipales est elle lancée ?

Vous avez dû recevoir dans votre boite à lettres, en même temps que la publicité souvent inutile, le premier tract de campagne de ce qui reste de la majorité municipale actuelle.

A la lecture de ce document, certaines personnes vont se dire que Loudéac était cela avant 2001

 et qu'aujourd'hui grâce à la volonté d'une seule personne (peut on parler d'équipe), c'est devenu cela

Nouvelles de l'opposition loudéacienne

Ce que le quotidien Ouest France appelle "la minorité" et qui est en fait "l'opposition" ne souhaite pas démissionner du conseil municipal pour l'instant, le "wait and see" actuel ne devrait pas durer éternellement mais il faut savoir attendre, c'est le sens du communiqué.

La misère de certaines municipalités

Toute ressemblance avec ce qui peut exister ici ou là est tout à fait fortuite

Boire ou construire, il faut choisir

Saint Barnabé: Le maire @George_Le_Franc est il d'accord ? @jean_reggio aimerait savoir et moi aussi

Georges Le Franc, le maire de Saint Barnabé, relaie un info du Courrier Indépendant concernant le regroupement de plusieurs communes pour faire le "Grand Loudéac".

A t-il peur de représailles ?

Pourquoi ne prend il pas position sur la non présence décrétée par le maire du gros bourg ?